Le CR de ces 17èmes rencontres comporte un certain nombre d’inexactitudes qu’il convient de signaler au préalable. C’est d’autant plus embêtant qu’elles portent sur ce qui précisément a posé interrogation lors de ces rencontres.

Il parait important de rectifier ces erreurs pour bien remettre l’ensemble dans le sens de la marche.

  • Page 1 : Les monnaies présentes Il est question de La Miel alors que cette monnaie n’existe plus.
  • Page 4 : la présence permanente de J-Michel Cornu, en autres, a été décidée unilatéralement, alors que le programme avait toujours été préparé auparavant de façon collégiale.
    • Intervention de Philippe Labansat Il est dit que le dépôt INPI a été réalisé par « 2 associations qui ne portent plus de MLCC actives ». Or, non seulement AGIR PLV portait la monnaie Abeille lors du dépôt, mais si l’Abeille est depuis peu portée par une nouvelle asso, un tiers de ses administrateurs sont également ceux d’Agir ; de même le Grain est toujours en activité.
    • § suivant : développe des monnaies électroniques Il n’a jamais été dit que la pratique de monnaie électronique était interdite dans le Réseau, mais par contre toujours affirmé qu’elle ne devait pas être ni unique ni prioritaire, mais complémentaire des coupons papier, donc non excluante.
    • § suivant : importantes manipulations manuelles cet argument qui se veut définitif contre la pratique de la fonte, n’est que celui de ceux qui ne l’ont jamais mise en œuvre, craignant faire fuir des adhérents avant même de les connaître.
    • § suivant : cession immédiate et surtout sans condition Injonction d’autant plus dérisoire qu’elle provient de membres qui se considèrent adhérents du Réseau MLCC parce qu’ils ont signé les textes fondateurs mais qu’ils ne les appliquent pas et veulent imposer leur pratique simplifiée.
  • Page 6 : Le sens et ce qu’implique le dépôt de marque Il est noté « Pour la plupart qui ne sont plus actifs dans leurs monnaies ». C’est l’inverse car la plupart sont toujours actifs dans leur monnaie ne serait-ce qu’en tant qu’adhérents ; les autres l’ont été avec un engagement complet dont il est trop facile de refuser leur expérience parce qu’elle dérange.

§ suivant : Légitimité d’un tel dépôt Comment parler de légitimité pour des projets qui se contentent de signer des textes fondateurs sans penser un instant à les respecter (si tant est que l’ensemble des adhérents des projets concernés connaissent l’existence de ces textes, de la signature de leur représentant et ce qu’elle suppose). Est-il légitime de signer un texte qui engage sur un mode pratique et de vouloir aussitôt imposer ses propres règles contraires à l’engagement pris ?

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